Petit Cyanure
Nombre de messages : 116 Age : 30 PUF : Yuri, Yuyu, Yu' ... Niveau Actuel : Merdique =D Elèves/Mentor : Je plains sincèrement mon futur élève ou prof x) Date d'inscription : 16/03/2008
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| Sujet: Yuri [ Admine ] Lun 15 Sep - 21:28 | |
| PUF : Yuri, Yuyu, Yu', Yami ... Origines du PUF ?? : Ben je suis lesbienne x) *SBAF* Prénom : Julie Sexe : Hermaphrodite ! Age : 114 ans (on enlève un 1) Rapide Présentation de Vous : Eh bien... Je suis parfaite ! Le messiiie... Heam, je fais apparaître des sauterelles multicolores dès que je suis énervée ... Hum je crois que t'as une bestiole sur l'épaule, coco >_o Heam. Donc, en gros, je suis une goth' cynique et froide ...Euuuh je gave mes oreilles meurtries avec du métal lourd lourd lourd... Je hais les teckto-pouf et tout ça .. Le rap etc, très peu pour moi o/ Le reste... à suivre dans le prochain épisode \o/
Musique Ecoutée : Métal \o/ Chansons Préférées : Boarf. Livres Préférés : Boarf. Films Préférés : Boarf. Acteurs/Réalisateurs Préférés : Boarf XD
Niveau du RP : Tout dépend de mon humeur et du sujet... Mais sinon, c'est plutôt bien potable. Genre de Forums RP : RP fantastique, parfois du hentai XD du lesbien, par ailleurs xD de mangas ... enfin un peu tout. Forces & Lacunes : Aucune idée Oô je suppose que je me débrouille bien en description mais ça dépend de mes humeurs, comme je dis. Exemple de RP : - Spoiler:
Je me rappelle encore ce jour d’été où je t’ai repérée. Une fille plutôt joyeuse qui n’arrêtait pas de rire dans la rue. Et moi, pauvre sotte qui te regardait de haut, je ne t’ai même pas aidée à te relever lorsque tu t’es étalée de tout ton long devant moi. Ce jour … Ce que nous avons dit… Je m’en rappelle parfaitement.
- Euh … ça va ? - …Même pas mal ! Héhé.
Je m’en rappelle, ce grand sourire. "Sourire Commercial !" comme tu me le disais si souvent. J’aurai aimé le voir pour toujours, le graver dans mon cœur comme l’on peut graver des mots d’amour dans la roche. Qu’importe le temps qui passe, il serait resté là à tout jamais. Même lorsque je ne serai plus de ce monde. Qu’importe si je pleure, je ne comprend toujours pas pourquoi le ciel ne m’imite pas. Pourquoi ? Pourquoi le soleil continue-t-il de briller ? Non, le seul soleil dans ma vie… C’est toi. Ce toi qui resplendie dans ma vie. Pourtant, je n’ai pas eu l’occasion de te le dire. Je n’ai pas eu le temps de te prendre dans mes bras, de te laisser pleurer sur mon épaule pour finalement sécher les larmes. Quelle idiote, je pensais réellement que l’on serait ensemble pour toujours. La vie est mal faite, certes. Pourtant elle a réussit à faire une aussi extraordinaire personne comme toi… Pour finalement la mettre en pièce. Je ne comprend pas pourquoi moi, je vis. Pourquoi est-ce que tu n’es plus là pour me faire rire ? Et pourquoi … Pourquoi n’es-tu pas là pour répondre à mes questions ?
- Eh bien quelle rencontre renversante ! - Ouaip, ça promet tout ça…
Malgré ton jean déchiré au niveau du genou, tu n’as fais comme si de rien n’était. Même si, finalement, je t’ai forcée à désinfecter ça. Mais pour toi, optimiste, ce n’était pas grave. Tu me disais que le trou était parfaitement au bon endroit. Et c’était vrai, le trou était bien situé, pile là où il faut pour que l’on croie que cela soit fait exprès. Je m’embrouille légèrement, mes phrases n’ont plus aucun sens. Ma solitude se fait ressentir. Tu sais, cela fait 4 jours que je n’avale plus rien. Mais il faudra bien que je m’y remette. Tu ne voudrais pas que je meure aussi facilement. Il faut que je me batte. Eh bien c’est d’accord, je me battrai pour vivre, pour toi. … J’ai beau dire ça, je ne le pense pas une seconde. Ma raison de vivre, c’était toi. Tu n’es plus là … La logique fait que je ne peux plus vivre. Pour toi, je devrais vivre. Mais ça n’a plus aucune importance. Je me suis lassée. Cela faisait près de 4 mois que l’on se connaissait. Tu m’avais payé une glace, je me souviens. Et ce gamin à vélo qui n’arrêtait pas de passer devant nous, je m’en souviens aussi.
- Punaise ! Je hais les gosses. - J’commence à ressentir la même chose en effet.
A croire que tu es plus gentille que moi. Tu l’as toujours été. Plus patiente. Même lorsque tu lui a dis que ta patience avait des limites, ce maudit gamin continua son manège. Avec l’objet maudit. Cette horreur suprême.
- Mais il va arrêter de faire du gling-gling avec son vélo, oui ?!
Oui, la sonnette. Et nous avions la même réaction, au même moment. Mais nous ne pouvions pas brutaliser un pauvre petit enfant qui s’amuse sur son petit vélo. Pauvre petit enfant innocent qui compte sur sa maman d’amour pour le protéger. Mais c’en était trop. D’un mouvement bref, je mettais mon bras au niveau du cou de ce sale mioche. Je vis presque la scène au ralenti tellement l’action était plaisante. L’enfant se prend magnifiquement mon bras dans la figure. Il bascule, comme lorsque l’on voit la personne que l’on aime. Et là, PAF. Ça fait des chocapic, et c’est le drame. Sa mère arrive en courant.
- Oh, mon dieu ! Mais il saigne !! - Hum, boulette … - Mais faites quelque chose !
Non mais c’est moi la mère de l’enfant ? Faut pas laisser des gosses faire n’importe quoi… Bon, exemplaire, je fais ce que ton regard menaçant m’ordonne de faire. Après quelques minutes à regarder ce mioche qui chialait littéralement la mère me pose la fameuse question. Evidemment, tu lui as informé que nous faisions des études de médecine. Surtout moi en l’occurrence.
- C’est grave (docteur) ? - Huuum je dirai que oui.
D’un regard horrifié elle me crie dans les oreilles. Je sais que tu te retenais de rire. Tu me connaissais, j’étais capable de tout. Et toi aussi d’ailleurs.
- Eh bien je dirai qu’il a une maladie incurable. - Comment ?! - Votre fils est atteint …
Et là, je lâche le mot.
- De chiantise aiguë.
La mère m’a regardé bizarrement, puis elle t’a regardée bien droit dans les yeux avec une once d’espoir, espérant que tu sois moins attardée que moi. Après s’être sûrement demandée si je sortais de l’asile et que tu sois mon psy, elle a relevé son enfant et est partie très vite dans la direction opposée. Je t’entends soupirer. Et puis finalement tu commences à avoir un fou rire. Ce fou rire, je pense que c’était le plus long que tu as pu avoir dans ta vie. Je te vois encore pleurer de rire… Ce rire, j’aurai pu l’entendre sans m’en lasser. Seulement, il est maintenant trop faible. J’ai oublié ta voix qui cassait parfois à chaque fin de phrase, lorsque tu me parlais. Un timbre que j’adorais. Tu m’harcelais au téléphone et je faisais semblant que cela m’énervait. Juste pour que tu continues. J’aimerai encore voir mon portable vibrer. Je voudrai tellement revoir ton nom affiché sur mon portable, ta photo juste en dessous. Tout bêtement, je rêve de te revoir.
Si tu savais comme je m’en veux pour toutes ces fois où l’on s’est disputées pour des idioties. Toutes ces fois où j’étais déprimée au point de te parler méchamment. Je voulais mourir. Et finalement c’est toi qui es partie. Ce jour maudit, je ne pourrai jamais l’oublier. C’était après qu’on aient mangé. - T’as l’air déprimée, ça va ? - Ben oui … C’est plutôt à moi de dire ça, non ?
Je ne voulais pas t’inquiéter. Je m’en fichais de mon état. Du moment que toi tu allais bien, j’allais bien. Et c’est pour ne pas t’inquiéter que je ne t’aie rien dis. Même si tu savais déjà. J’étais bien trop exigeante, et je n’allais pas trouver le bonheur comme ça. Tu me le disais souvent. Je ne trouve même plus la force de réfléchir à mon avenir. Mon avenir, il était avec toi. Maintenant, je ne fais plus que pleurer. Je pleure pour ce "nous" inexistant, pour cet avenir qui n’en sera jamais un. C’est bien trop dur de ne plus avoir de raison de vivre, je n’en peux plus, sans toi ma vie n’a aucun sens. Je ne sais pas pourquoi je marche. Et je ne sais pas où je vais m’arrêter. Tout ce que je sais, c’est qu’au final je ne te trouverai pas. Nous n’avons pas passé assez de temps ensemble. Je regrette sincèrement que nos derniers instants eussent été bien trop courts. Je suis égoïste, je préférais que tu sois un peu déprimée, juste pour que tu me parles de tes problèmes, que tu viennes me voir en pleurant pour que je te console. Je suis un monstre, tu aurais dû avoir la vie sauve. Je te voulais que pour moi. Seulement, tu ne peux être heureuse avec moi. Tu aurais pu être mieux, sans moi… Vraiment, sans toi ma vie n’est rien, ce n’est pas une vie, c’est un enfer. Je ne dors plus. Je pense trop à toi. A ce que l’on aurait pu vivre ensemble. Je me dis que veiller tard est la meilleure façon de faire de beau rêve. Mais je n’arrive finalement pas à rêver. Les rêves n’en sont pas, ils ne sont pas beaux, tu n’es pas dedans. Je revois sans cesse cette scène où les étoiles dans tes yeux se sont éteintes. Mais, je veux me rappeler. Même si c’est douloureux, je veux continuer à penser à toi pour ne pas t’oublier. Je ne peux t’oublier.
- Je comprend pas pourquoi tu veux mourir… Enfin te tuer. - Je préfère mourir dans ma déprime, comme ça je n’aurai pas fuis la réalité : je l’aurai affrontée. Je ne serai pas restée dans un bonheur niais. - Tu préfères pas être heureuse ? Mieux vaut rester dans cette niaiserie. Tu vivras plus longtemps…
J’ai adoré l’expression que tu as affichée sur ton visage à ce moment là. Une expression si douce… Tu possédais un fort caractère et un magnifique visage souvent froid. Tu te disais méchante, timide et ayant plus de défauts que de qualités. Mais pour moi, le fait que tu possèdes ces défauts là fait que tu es parfaite… Oui, j’écris au présent. Car même si tu n’es plus là, tu es encore parfaite. Et tu le seras toujours. Je l’avais dis, tu seras toujours dans mon cœur. Impossible de t’oublier. Je n’en dors plus. Enfin, je dors encore moins que d’habitude.
Si je n’avais pas été dans ta vie, serais-tu encore là ?
Je n’en peux plus, c’en est trop. J’ai besoin de toi dans les moments difficiles comme dans les faciles. Je vois sans cesse ton sang sur mes mains. Je te revois, te battant contre le voile noir gênant ta vue. Ce que tu m’as dis me hante. Tu m’as suppliée de ne pas te laisser seule. Tu ne voulais pas te retrouver dans le noir. Je t’y ai laissée … Je suis profondément désolée. C’était une erreur. Traverser cette foutue rue aussi bêtement après une dispute, c’était stupide. Je suis stupide. L’amour m’a aveuglée. J’étais prête à tout pour toi, même jusqu’à courir vers une extrémité d’un arc-en-ciel pour voir où elle arrive. Sauf que le seul trésor que j’aurai voulu trouvé, c’était toi. Mais tu n’es pas là-bas. Je ne t’y trouverai jamais… Mais je suis prête à aller vérifier tout de même. Je n’ai pas eu le courage de te le dire. Je ne peux que te rejoindre dans cet arc-en-ciel. Et je compte le faire. Cela fait trop longtemps que je t’écris bêtement. Je vais pouvoir te dire ce que je pense vraiment. J’espère que là où j’irai, tu y seras … Tu me manque tellement. Mais je ne veux pas te dire adieu. Je ne peux pas. Mon cœur saigne, cette chose si insignifiante blessée n’en peut plus de battre. Mon cœur t’appartient, et il battait pour toi.
Je pleurai pour toi, mon ange. Je t’ai toujours surnommée comme ça. Mais je ne pensais pas que tu en deviendrai réellement un. Tu n’aurais pas dû mourir pour me le prouver…
Memento Mori. À toi, à jamais dans mon cœur.
[ JE SORS CA A CHAAAQUE FOIIIIS XD la flemme de poster autre chose...] Comment avez-vous découvert le Forum ?? : Ha...ha...ha -.- Qu'en pensez-vous ?? : Allons allons, je suis modeste. Quelque Chose à Rajouter ?? : euh... LESBIENNE ET BI POWA XD ? Codes : Bavi ^^. | |
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